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Petit (!) rappel sur le pointage en zone…
Bon, le rappel en question n’est « pas franchement petit », mais il est parfaitement justifié.
Et ce que nous re-précise Gérard Aparicio ne concerne pas que l’IDF, mais est valable dans toutes les ligues, évidemment.
Donc, on lit ce rappel bien utile et on essaie de s’en souvenir en cas de litige…
Merci M’sieur Gégé !
« Avant les prochaines épreuves de trial du championnat de ligue Ile de France, je voudrais revenir sur certains faits et comportements de pilotes et commissaires depuis le début de la saison dans nos trials. Je voudrais tout d’abord, rappeler que les pilotes doivent être courtois envers les commissaires, un petit bonjour en arrivant dans la zone fait toujours plaisir et entretient la bonne humeur,. Le pilote n’oublie pas de demander l’accord du même commissaire pour rentrer dans la zone, et il doit aussi admettre sans réclamer la sanction qu’il lui a été infligée (c’est la règle qui ne fait pas toujours plaisir…je sais, mais c’est la règle).
Je ne reviendrais pas sur certaines grossièretés et insultes qui ont été prononcées envers une équipe de commissaires OZT et bénévoles en début de saison, elles sont impardonnables et auraient dû être sévèrement punies si elles étaient remontées jusqu’au directeur de course en temps et en heures ce jour-là.
Le bénéfice du doute profite toujours au pilote…
Il ne faut pas hésiter à faire remonter au directeur de course d’une épreuve une injustice grave d’un commissaire qui n’aurait pas suivi ou mal interprété le règlement. Ceci est tout aussi valable dans l’autre sens pour un pilote qui essaie de minimiser à grands cris le nombre de pieds, voir le cinq qui est incontestablement formulé par le commissaire, COMMISSAIRES n’oubliez pas par contre que si vous avez un doute » LE BÉNÉFICE DU DOUTE « va toujours à l’avantage du pilote !
Pour éviter toutes tensions dans les zones…
Suite aux litiges qui me sont remontés entre pilotes et commissaires sur les dernières épreuves, voici donc quelques précisions.
Un commissaire ne doit jamais faire refaire la zone, sauf cas très exceptionnel d’une énorme dégradation de celle-ci pendant le passage du pilote (très rare).
L’extrémité du pneu avant où arrière qui pénètre dans une porte qui n’est pas de sa catégorie en marche avant où arrière (c’est 5) je dis bien l’extrémité du pneu et non pas l’axe de la roue avant où arrière (c’est très important)
Rouler de l’autre côté de la banderole (c’est 5) avec pieds où sans pieds.
Pousser et écarter la banderole avec le bas du tube de fourche (c’est 0).
Le non-port du bracelet au poignet gauche dans la zone (c’est 5). En moto ancienne, un coupe-circuit au guidon ou un décompresseur.
Le calage avec un pied à terre (c’est 1) avec deux pieds(c’est 2) avec trois pieds(c’est 3) sans pied à terre(c’est 0).
Se servir des pointes de pieds sur une marche (c’est 0).
Le touché de flèche n’est pas une faute ! Sauf si le commissaire est obligé de venir la remettre en place si tombée ou écrasée (dans ce cas, c’est 5).
Rouler sur la banderole (c’est 0) celle-ci doit rester à 10 cm minimum du sol et ceci pendant toute la durée de l’épreuve.
Un pied de chaque côté de la moto (c’est 2) sauf si ceux-ci sont derrière l’axe de la roue arrière( là c’est 5).
Les deux pieds du même côté de la moto (c’est 5).
Le guidon qui touche le sol, uniquement le sol (c’est 5) ailleurs que le sol (c’est un appui, donc 1).
Sur ces bonnes paroles, excellentes vacances à tous !
J’espère que ces petites précisions porteront leurs fruits dans vos prochains jugements et apaiseront les quelques tensions qui pourraient exister dans notre discipline.
Je vous rappelle messieurs les pilotes, que nous ne sommes que des bénévoles. Et il existe comme dans tous les sports un règlement et nous devons le respecter, et nous y conformer!
Je suis sûr qu’après ces petites précisions, le respect et la bonne humeur continueront de régner dans nos épreuves.
En attendant Juilletistes et Aoûtiens je vous souhaite de passer de bonnes vacances, où que vous soyez !
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